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Critique d'album

The Offspring


Splinter


(01/12/2003 - Sony Music - Punk-Rock Californien - Genre : Ska / Punk)
Produit par

1- Neocon / 2- The noose / 3- Long way home / 4- Hit that / 5- Race against myself / 6- (Can't get my) head around you / 7- The worst hangover ever / 8- Never gonna find me / 9- Lightning Rod / 10- Spare me the details / 11- Da hui / 12- When you're in prison
Note de 4/5
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Note de 3.5/5 pour cet album
"Après trois ans d'absence des bacs, les californiens remettent le couvert."
Matt, le 30/12/2003
( mots)

Après deux albums (Ixnay on the Hombre et Americana) plutôt controversés autant par la critique que par les fans, le combo d'Orange County semble vouloir se replonger dans les eaux calmes de leur source punk, pour notre plus grand plaisir !

On les avait précédemment fustigés pour avoir emprunté la pente glissante de la chanson commerciale avec des titres tels que "Why don't you get a job", et l'on a bien failli vouloir en remettre une couche en entendant le single extrait de ce dernier opus, "Hit that", aux sonorités électroniques rappelant un peu le pont utilisé par Marc Lavoine sur "Dis moi que l'amour " (autant dire qu'on a eu chaud).

Fort heureusement, même si "Hit that" est un titre empli de fraîcheur et de jovialité, il s'avère être le moins représentatif du travail effectué sur ce dernier effort, plutôt tourné vers des rythmes plus punkisants, davantage dans l'esprit d'Ignition ou de Smash.
Après un "Neocon" d'introduction donnant le ton "we'll go on/we will fight/we will not compromise" sur fond de chant de stade, le combo nous fait rapidement oublier leurs dreadlocks dans le vent du début du millénaire, pour nous servir "the noose" très "smashien" et "long way home" à la rythmique punk bien trempée.

On se retrouve finalement face à un opus diversifié entre rock, punk ("Long way home", "Da hui" notamment) et reggae ("The worst hangover ever" relatant les méfaits d'une bonne cuite) qui nous rappellent les meilleures périodes du groupe californien.
Les gars vieillissent mais leur son est toujours aussi dynamique, et ceci peut-être grâce au concours de Josh Freese (A perfect circle) pour l'enregistrement de Splinter, suite au départ de Ron, dont Atom Willard (nouveau batteur donc) a hérité de la succession.

On pourra s'étonner cependant de la teneur et du fond assez légers des paroles, politiquement désengagés, quand on connaît leur position vis-à-vis de la politique de Georges Walker Bush (http://www.punkvoter.com). On comprend toutefois leur envie de ne pas mêler opinions et musique : politique et divertissement, deux mots qui ont du mal à se côtoyer !

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