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Critique d'album

Izabo


Fun Makers


(05/02/2007 - Sony BMG - - Genre : Pop Rock)
Produit par

1- Morning Hero / 2- I'm On You / 3- Kisses / 4- Fun Makers / 5- Play With Me / 6- Sky / 7- Cook Me / 8- Flower Power / 9- Tide & Sea / 10- Onion Tears / 11- Undo Song / 12- Dream On
Note de 2.5/5
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Note de 2.5/5 pour cet album
"Le quatuor psyché-rock israëlien nous promet du fun au kilomètre. Pari tenu?"
Moon, le 28/03/2007
( mots)

Trois ans après sa première sortie, Fun Makers, le premier disque de ce quatuor psyché israélien, débarque dans nos vertes contrées. N'y allons pas par quatre chemins : avec un titre comme ça, on s'attendait à de l'amusement à la chaîne, à de l'entertainment de professionnels, quelque chose de foutrement efficace, taillé pour faire remuer sur les dancefloors. De la disco-rock inoffensive comme on en trouve à la pelle certes, mais dans "disco-rock", il y a "rock". C'est déjà ça.

Là, on est un peu déçu. Tout cela commence pourtant plutôt bien. Les deux premiers titres ont tout ce qu'il faut de gimmicks accrocheurs et de voix hautes perchées pour satisfaire un fan de Wolfmother sous champis. "Kisses" continue en beauté avec un rythme et une diction vaguement ragga, aguichants comme deux putes en strings panthère. On dodeline dur de la tête, on tapote même du pied. Le petit côté oriental ne gâche rien.

Malheureusement, la suite se gâte un peu. Les morceaux se succèdent et se ressemblent. Les influences orientales qui épiçaient un peu la galette jusque là finissent par tourner à la BO de film bollywoodien. Voire pire : on imagine déjà certaines compositions sur des images de pub d'agences de voyage. Mauvais plan. Il y a peut-être des fans ? Après tout, une chanson comme "Undo song" est tout sauf désagréable. Toujours est-il que tout ceci n'est pas furieusement rock'n'roll. Parions que même sur les dancefloors, ça ne remuera pas tant que ça, même si quelques titres semblent pourtant taillés pour (l'eighties "Sky" en tête).

On écoute la suite d'une traite, sans trop y prêter attention. A part quand le très fin "Cook Me" s'autorise une ligne de basse plutôt sexy. Ou quand on est obligé d'admettre que le refrain d'"Onion Tears" est quand même rigolo. La fin de l'album n'est pas en reste, et ressemble à une chanson des Doors qui aurait piqué un refrain à Steven Tyler. Bref, le trip n'est pas vraiment désagréable. Mais les psylos n'auront pas fait effet longtemps.

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