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Critique d'album

Washington Dead Cats


El Diablo is back


(27/02/2006 - - Punk - Rockabilly - Genre : Ska / Punk)
Produit par

1- I'm a dead cat / 2- You're my little hoodoo voodoo doll / 3- El diablo is back / 4- Don't blame the flame of love / 5- I'm going to Las Vegas and I'm gonna be a star / 6- Crazy voodoo woman is back / 7- Treat me bad / 8- I love to hate you / 9- Burn baby burn / 10- My baby got a man / 11- Mongoloid / 12- Lady Satana / 13- Is my lucky number
Note de 3/5
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Note de 3.0/5 pour cet album
"Eternel retour d'un groupe qui envoie du son punkrockabilly, la classe en plus."
Hélène, le 15/03/2006
( mots)

Oyé gentes dames et damoiseaux nostalgiques d'une époque disparue, j'ai nommé les années 80 (Comment ça personne n'est nostalgique de cette époque ?). Les Washington Dead Cats sont de retour et nous offrent un album dans la droite lignée de cette décennie perdue. Ok, ce n'est pas leur premier retour, mais que voulez-vous, quand on est autoproclamé meilleur groupe de rock du monde préparant celui-ci au grand retour d'Elvis, on ne peut que revenir régulièrement continuer son oeuvre.

Inspirés par les Clash, Dead Kennedys et autres Frank Sinatra, les Wash mélangent les styles, et restent ainsi en marge de tous, uniques. On sent nettement des influences garage ("Burn baby burn"), rockabilly, punk, et même hardcore ("El Diablo Is Back") la présence d'une section de cuivre amène un coté jazzy, rock steady, voire ska ("Crazy Voodoo Woman is Back") sur la plupart des morceaux. La particularité de WDC doit aussi beaucoup à la voix de crooner du chanteur qui donne une certaine classe au groupe, malgré les chemises hawaïennes... Un morceau se détache du lot par sa différence, "I love to hate you", texte murmuré, accompagné de contrebasse, claquements de doigts et pincements de cordes, et qui dégage une ambiance féline vraiment extra. Enfin, quand je dis féline, je me comprends... on notera que Mat Firehair chante dans un autre groupe à tendance blues, Les Juju Messengers. De même que le batteur, Seaweedyo joue dans un groupe de ska punk, et El Signor Igor emmène son trombone faire du reggae ailleurs, tandis que Lord Fetide Beltran lâche sa guitare pour faire des dessins sous le nom plus doux de Fred Beltran.

A noter cependant qu'à partir du douzième morceau, j'ai tendance à me lasser à chaque écoute. Ça tombe plutôt bien, car il n'en a que 13. Une question me turlupine toutefois concernant le morceau "Burn baby burn", on entend quelques notes d'une mélodie qui me semble être "Les p'tits papiers", bref...

Sur l'album, se trouvent également une vidéo d'El Diablo, expliquant en anglais sous-titré anglais les raisons de son retour, et ses plans de maître pour dominer le monde ; et le clip d'une chanson, "Devil in high heel".

Je terminerais en rappelant que si l'album des Wash permet de passer de bons moments chez soi, il est également assez nécessaire de les voir en concert, car c'est là que se dégage toute l'ambiance série Z et vieux fanzines que l'on aperçoit dans les pochettes ou les dessins de routes de Mat sur son blog. C'est également la meilleure manière de capter l'énergie et la folie de ces cats plus ou moins déguisés et bondissants. C'est aussi après les avoir appréciés en concerts que vous aurez le plus de style, grâce à un précieux mimétisme en passant la serpillière sono à fond par exemple. Fin.

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