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Critique d'album

Underoath


Define The Great Line


(20/07/2006 - Tooth & Nail - Emocore - Genre : Hard / Métal)
Produit par

1- In Regards To Self / 2- A Moment Suspended in Time / 3- There Could Be Nothing After This / 4- You're Ever So Inviting / 5- Salmamir / 6- Returning Empty Handed / 7- Casting Such a Thin Shadow / 8- Moving for the Sake of Motion / 9- Writing on the Walls / 10- Everyone Looks So Good From Here / 11- To Whom It May Concern
Note de 4/5
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Note de 2.0/5 pour cet album
"Amateurs de pop aérienne et délicate, ce disque n'est pas fait pour vous..."
Jerome, le 09/10/2006
( mots)

Autant vous le dire tout de suite, si pour vous rien ne vaut quelques notes égrainées sur une guitare sèche, ou si vos oreilles ne trouvent leur bonheur qu'à l'écoute d'une petite ballade pianotée par un chanteur à la voix mielleuse, vous feriez mieux de changer de trottoir sans vous faire prier. Underoath ne fait pas dans la musique pour midinettes. Et malgré leur affiliation à la mouvance en vogue outre-atlantique du Rock Chrétien, il vous faudra des tympans solidement accrochés pour espérer tenir la totalité de ce Define The Great Line. Vous ne pourrez pas dire que vous n'aviez pas été prévenus...
C'est donc après le très bon They're Only Chasing Safety, vendu à près de 500 000 exemplaires, qu'échoue dans les bacs ce nouvel opus des six apôtres d'Underoath. Et à la première écoute, on ne peut passer à côté du travail de production d'Adam Dutkiewicz et de Matt Goldman nous propulsant un son énorme dans les esgourdes durant ses 11 titres. Délaissant un peu le côté death metal des débuts pour des sonorités légèrement plus emo, le combo semble vouloir toucher un public beaucoup plus large à grands coups de riffs tranchants et de cris bien virils.
Malheureusement, c'est le style d'exercice où, pour survivre, il faut sortir du lot. Et c'est la que le bât blesse, tellement les enchaînements d'accords et les changements de rythmes semblent prévisibles et convenus. C'est sûr, l'album va plaire à une certaine catégorie d'auditeurs (oubliant au passage le public de la première heure), mais pour combien de temps ? Bon, il ne faut tout de même pas être trop mauvaise langue. Certains titres s'en sortent très bien comme "Moving For The Sake Of Motion" ou encore l'instru de très bonne facture proposée avec "Salmanir". Et le travail d'arrangement reste quand même relativement exceptionnel.
Define The Great Line apparaît donc comme un album intéressant à écouter, pour des titres comme "You're Ever So Inviting" ou tout simplement pour se réveiller avant de partir au taff. Le seul problème, c'est que c'est le style de galette qui finira par prendre la poussière dans un coin de votre piaule ou terminera son chemin au fond d'un tiroir. Dommage, on attendait tellement mieux...

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