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Critique d'album

The Electric Soft Parade


The american adventure


(14/10/2003 - BMG - - Genre : Pop Rock)
Produit par

1- Things I've done Before / 2- Bruxellisation / 3- Lights out / 4- The wrongest thingin town / 5- Lose yr frown / 6- The american adventure / 7- Chaos / 8- Headacheville / 9- Existing
Note de 4/5
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Note de 3.5/5 pour cet album
"Deuxième album pour ce groupe qui fut l'une des révélations de l'année dernière"
Lilian, le 09/11/2003
( mots)

Selon certains critiques de la presse écrite, les ESP seraient beaucoup trop évasifs dans leur style musical. Ils "manquent [soi-disant] de repères" et seraient tout près de devenir des stars ... mais pas encore mes petits, pas encore. Stupeur alors !
Il est vrai que les deux frangins White sont très jeunes et qu'ils ont encore du chemin à parcourir, cependant leur premier essai, sublime Holes in the wall, les menait déjà un cran au dessus de la plupart des groupes de pop anglaise, baigné par une foultitude de sons originaux et de mélodies imparables. Alors c'est peut-être exagéré de parler de manque de repère, mais bon ... passons !

Cet album est-il déjà un virage dans la carrière de ces deux jeunes musiciens ? Non, pas forcément ! Toutefois, à l'écoute des premier morceaux, il est vrai qu'un choix à été fait; celui de passer la guitare au premier plan, et donc de retomber sur une scène pop-rock qu'ils avait jusqu'ici survolé. "Things I've done before", titre qui ouvre les festivités, pourrait même s'inscrire dans un registre dit "garage" avant d'être rattrapé par un refrain typique à une pop inspirée de loin par les Beatles. "Bruxellisation" nous rappelle que les deux protagonistes ne jouent pas dans la facilité en terme de production, avant d'enchaîner sur un "Lights Out" assez proche de l'univers de Radiohead . "Lose yr Frown" se pose quand à lui en inévitable tube, armé d'un refrain qui invite à remuer la tête en rythme.

Seul "Headacheville" revient fricoter avec ce style plus "rock" sur une fin d'album agrémentée de trois titres plus conceptuels qui pourrait s'inscrire dans la suite du premier opus. On retrouve avec plaisir le coté planant des morceaux qui les ont rendu célèbres. Avec un titre comme "Chaos", les yeux fermés, c'est un voyage garanti dans un univers intemporel, avec un final chargé d'émotion, grâce aux chœurs et aux multiples sons électros.

Gros bémol quand même dans cet album, qui fait baisser l'appréciation assez bêtement : seulement 9 chansons pour un album d'environ 36 minutes. C'est court, beaucoup trop court à mon goût ! Le "copy control" prendrait-il de plus en plus de place sur les galettes !

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