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The Beach Boys - The Smile Sessions


"A l'occasion de la sortie des Smile Sessions le 1er novembre dernier - et avec quelques mois de latence, albumrock vous propose de revenir sur le plus grand rendez-vous manqué des 60's, fruit de l'un des meilleurs compositeurs et producteurs jamais engendrés, un être passionné, obsessionnel mais fragile qui dû capituler devant la pression de ses pairs et le triomphe artistique des Fab Four de l'autre côté de l'Atlantique. Retour sur le cas Brian Wilson, du brillant écrin de Pet Sounds au bouillonnant fantôme de Smile, et sur l'une des périodes les plus fastes de la pop music. Par Nicolas et Pierre D. Critique de Pet Sounds - par Pierre D Critique de The Smile Sessions - par Nicolas"
Nicolas, le 04/04/2012
A l'occasion de la sortie des Smile Sessions le 1er novembre dernier - et avec quelques mois de latence, albumrock vous propose de revenir sur le plus grand rendez-vous manqué des 60's, fruit de l'un des meilleurs compositeurs et producteurs jamais engendrés, un être passionné, obsessionnel mais fragile qui dû capituler devant la pression de ses pairs et le triomphe artistique des Fab Four de l'autre côté de l'Atlantique. Retour sur le cas Brian Wilson, du brillant écrin de Pet Sounds au bouillonnant fantôme de Smile, et sur l'une des périodes les plus fastes de la pop music. Par Nicolas et Pierre D. Critique de Pet Sounds - par Pierre D Critique de The Smile Sessions - par Nicolas
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Commentaires
Arbitre, le 27/09/2020 à 05:34
Les Beatles n'ont pas attendu "Sgt Pepper" pour découvrir le LSD. C'est au tournant 1965/66 que d'abord Lennon et Harrison ont fait leurs premières expériences. Lennon en parle dans "Dr Robert" sur "Revolver". Mac Cartney s'y est mis plus tard, peut-être à l'automne 66, sous la pression des deux autres. Il a par contre été le premier à l'avouer publiquement pendant une interview mi-1967, entre la sortie de "Sgt Pepper" et le tournage de "Magical mystery tour". Pour Wilson (comme pour Lennon du reste), il y avait déjà un contexte malsain dans son esprit. Wilson-père n'était déjà pas très net, il faisait subir des supplices psychologiques à ses enfants quand ceux-ci faisaient des choses qu'il n'appréciait pas. Agissant en qualité de producteur pour le groupe pendant les premières années, le père était souvent en conflit artistique avec Brian, et ce dernier a du le virer officiellement pour prendre sa place. C'est peut-être quelque chose qui a pesé sur sa conscience, et qui pourrait expliquer en partie sa mauvaise réaction au LSD. C'était sans doute d'autant plus déchirant que Brian avait toujours admiré son père pour des questions liées à la musique (le père avait réalisé un disque de Jazz, lui avait fait découvrir ses premières amours musicales, l'avait soutenu dans ses projets de groupe, ...). Mais Brian n'a pas épargné sa jeune épouse, Marylin, en sous-entendant nettement dans sa chanson "Caroline, no" qu'elle n'était plus celle qu'il aimait, et en remplaçant son prénom par celui d'une ancienne girlfriend. Heureusement qu'elle n'était pas très friande de LSD, je vous dis pas le couple que ça aurait fait !
Arbitre, le 27/09/2020 à 04:38
Ce qui me frustre dans "Pet sounds", c'est le fait que les morceaux vraiment réussis (à mon jugement personnel), principalement sur la face B, sont courts. Ils sont riches sous bien des aspects, mais j'ai l'impression que Wilson les a faits comme des échantillons issus d'une expérience scientifique. Genre "Oui, on peut innover dans les sonorités, d'ailleurs voici quelques exemples de ce qu'on peut faire". Je pense en particulier à des morceaux comme "Here today" et "Caroline, no", une fois la partie centrale finie, on arrête tout, alors qu'à l'époque on est habitué à une structure plus longue : 2 couplets-refrain, 1 couplet-refrain, pont, couplet-refrain final (multiplié).
Xavier, le 25/02/2016 à 22:25
J 'ai toujours adoré les beatles, je les écoute depuis que je suis petit (mon frère avait les 33 tours bleus et rouges, mainteant j'ai tous leurs albums originaux et toujours considéré que St Pepper est le plus grand album de pop existant. Et puis il y a Les Beach Boys, longtemps je n'ai écouté que quelques morceaux que je trouvais beaux et toujours associés au surf, une musique gaie et sympathique, fraiche et enjouée. un jour j'ai lu une critique sur Brian Wilson et son obsession des beatles et j'ai eu envie d'ecouter l'album Smile (je ne connais pas encore Pet Sounds). Je l'ai acheté et là après plusieurs écoute, la grande claque !!! un album extraordinaire, une musique incroyable, les formats ne sont pas commerciaux, peu importe, la musique est hypnotique, ensorcelante, elle résonne constamment dans ma tête...je n'ai jamais rien écouté d'aussi beau, d'aussi grandiose. pour moi maintenant cet album se positionne avant St Pepper. A n'en pas douter l'album Smile 1967 est le chef d'oeuvre absolu de la pop. Smile sessions un album d'instants captés ? pas seulement, cet album est bien plus que ce que vous en dites dans vos dernières lignes. Pour moi ce sont 79 minutes de pures bonheurs quand les beatles ne produisent que 35 à 40 minutes pour St Pepper et tous les morceaux de leur album ne sont pas de valeurs égales ...