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Compte-rendu de concert

Bukowski


Date : 24/10/2018
Salle : La Douche Froide (Metz)
Première partie :

Quand les mecs mettent le feu devant 60,000 personnes comme 60...

Rudy, le 06/11/2018
( mots)

Dans ce club à l'atmosphère sortit de l'Upper East Side (briques rouille et zinc plus grand que la scène), les frères Dottel (Mathieu : guitare/chant et Julien : basse/chant) font les derniers réglages pendant que Clément nous dit aux wc qu'ils ne joueront pas de titres de l'album Midnight Sons : mais on ne sera pas déçu longtemps ! Julien passe au bar se prendre une binouze avant de remonter sur scène et d'envoyer le bois, par stères.

Dès les premières notes de "Pillbox", tiré du premier album, le bassiste descend jouer dans les premiers rangs avant de repasser derrière le micro et de balancer un "on a fait cinq heures de route ma gueule !" (euh... vous êtes passés par Strasbourg ?).

Mathieu, aussi volubile que son aîné, dédie le morceau "Smoky room" à Gainsbourg et à un temps où on avait plus de libertés, comme fumer dans les salles de concert. Un petit pain de Timon derrière ses fûts n'entrave en rien la maîtrise globale des parisiens et leur son énorme et clair.
D'ailleurs après un premier classique qu'est devenu "My name is Kozanowski", le batteur s'enflamme tellement sur "Among the streets" qu'il en toucherait presque le plafond ! Énorme.

Buko ralentit ensuite un peu la cadence tout en restant dans le bon rock bien lourd, celui qui scie des bûches.

Clément, le nouveau venu (trois ans quand même) et plutôt réservé en privé, devient une bête de scène dès qu'il endosse sa gratte! Avec son look et son attitude rappelant Cass, le bassiste de Skunk Anansie, il trouve parfaitement sa place au sein du combo. Julien, de son côté, ne lésine pas sur les punchlines avec sa gouaille sortie de Dikkenek : "on est pas venus faire de l'animation en centre de loisirs !" et invite tout le monde à se bouger sur le toujours efficace "Hasardous creatures". Les mecs sont là pour mettre l'ambiance, le feu, le dawa, que ce soit au Hellfest ou devant 62 messins...

Ensuite plusieurs titres bien groovy chauffent la place pour l'énorme "Mysanthropia" qui nous est servi avec un supplément patates (dans la tronche). Le plus rock'n'roll "Car crasher" nous achève et tout le monde est content. On reconnaît ensuite les premiers accords de "I'm broken" de Pantera !!! Et voilà que Bukowski nous envoie une version instrumentale raccourcie mais qui est à l'image du concert : puissant, compact et jovial. Un peu comme la pochette de "Vulgar display of power" quoi...

Commentaires
Rudy, le 22/03/2019 à 19:22
Eh non!
bahalor, le 09/11/2018 à 18:02
Il n'y avait pas de première partie ?